Tristen C. Morrison || FINI

- Oui, elle est toujours chez nos parents, ses études lui prennent beaucoup de temps cela ajouter à mes horaires de folie, on en se voit plus. Je pense que la dernière fois que tu l'a vu c'était au moment de notre déménagement ici, c'est vrai qu'elle a changé et pas qu'un peu, tu ne savais pas que quand elle était plus jeune elle craquait pour toi ?

Malgré le fait que Curtis et Maureen est à peu près le même âge, ils n'avaient jamais été aussi proche qu'ils ne l'était eux deux. Sa jeune soeur avait rapidement craquer pour le dernier-né des Logan, elle pouvait comprendre pourquoi mais contrairement à sa soeur elle ne le considérait que comme un simple ami, comme le frère qu'elle n'avait jamais eu et avec qui elle pouvait partager tout ce qui arrivait dans sa vie. Maintenant tout avait changé, sa soeur avait un peu calqué son comportement sur le sien, passant d'un garçon à un autre sans aucune vergogne, comme elle le faisait pendant ses années de lycée, mais quand elle avait voulu changer c'était trop tard, tout les hommes connaissait sa réputation.

- Et moi, j'en voulais tellement à mes parents que je ne leur est plus adresser la parole pendant je ne sais combien de temps, elle seul fois ou j'ouvrais la bouche et quand je te parlais au téléphone. Ca m'a anéanti le fait que tu ne sois plus près de moi quand j'allais mal, je ne voulais même pas parler à mes nouveaux camarades, de toute façon aucun ne t'arrivait à la cheville, il y avait toujours quelque chose qui clochait. Tu parles, j'ai sauter de joie pendant des heures quand ta mère m'a appeler pour m'annoncer que tu venais t'installer à Sidney, ça me faisait du bien de savoir que tu serais près de moi et que je pourrais t'épauler dans cette épreuve.

Les moments passer ensemble était les plus beau qu'elle n'avait jamais vécu, même si elle avait toujours eu un train d'avance sur lui, rien ne les avait jamais séparé, à par peut être le déménagement, mais même là ils s'appellaient tout les jours et s'écrivait tout autant. Il était perdu dans ses pensées, voyant sûrement quelques uns de leurs souvenirs défiler dans sa tête. Un sourire vint sur ses lèvres quand elle repensa à une de ses soirées qu'ils avaient passer ensemble, jamais elle ne l'oublierais. Comme toujours il était venu chez elle en douce, montant grâce la palissade en bois qu'avait à tout prix voulu installer sa mère, entrant dans sa chambre en silence. Ce soir là, une université proche donnait une grande fête, elle ne devait avoir que seize ans à peine, mais comme toujours et accompagnée de son ami ils y étaient entrer sans aucune difficulté. Ils s'étaient amusé comme des fous, mais elle avait un peu trop abusé de l'alcool et Curtis avait été obligé de l'aider à rentrer jusqu'à chez elle, essayant de calmer ses fous rire incontrolabe qui lui prenait de temps en temps. Le plus marrant avait du être l'a remonter, elle s'était coincée le talon de sa chaussure entre deux branches de cette fichu plante montante qui entourait la palissade de bois. Heureusement ses parents n'avaient rien entendu et elle sa gueule de bois était rapidement passer. Quand elle entendit le son de la voix de son meilleur ami, elle revint sur terre, écoutant attentivement ce qu'il avait à dire, al beauté qui rendait les hommes incontrôlables ? Elle connaissait, mais elle aussi était éphémère.

- Oui, mais tu crois que dans quarante ans les hommes se retourneront toujours sur mon passage comme il le font aujourd'hui, je ne pense pas.

Tiffany était devenu rouge comme une tomate, elle en était certaine, surtout quand il lui rappela rapidement qu'elle ne tenait pas vraiment l'alcool, sauf quand elle en abusais que modérement. Elle remercia silencieusement Curtis d'avoir mit se sujet sur le tapis, surtout que ça lui permettait de cacher la gêne qu'il avait provoquer en elle.

- Je m'en rappele n'ai pas peur, mais si je me rappele bien je n'était pas la seule à abuser de l'alcool pendant notre adolescence, si je me rappele bien, un jour ce n'est pas moi qui est eu besoin d'être ramener chez moi, heureusement que je connaissais quelqu'un qui avait une voiture car je crois que je n'aurais pas pu t'aider à marcher...Et ce jour-là je n'étais pas ivre, enfin d'après mes quelques souvenirs.

Elle espérait que son sourire allait disparaître de cette façon, mais ça l'énervait tout de même de voir qu'elle n'était pas toujours comme elle le disait, en soirée quand elle était avec des collégues, elle faisait exprès de choisir le rôle de celui qui prenait le volant pour ne pas boire et se donner en spectacle, cela fairait considérablement baisser sa côte de popularité, surtout dans le monde de la mode ou tout le monde était résistant à tout.

- Mais je te l'aurais donner même si tu ne voulais pas, tu crois que c'est prudent de laisser une aussi belle jeune femme rentrer toute seule dans la nuit ? Chaque que je rencontrerais n'aurais pas que de sainte pensée à mon avis...Mais quand au fait que tu va gagner, je ne pense pas, je suis la plus forte.

Une petite fille de dix ans, les gens devaient sûrement l'a prendre pour une folle mais elle n'en avait rien à faire, elle était avec son meilleur ami et ils avaient repris une de leur vieille habitude, celle de se lancer dans des paris complétement stupide. Toutefois sa bonne humeur disparu un peu quand elle entendit Curtis parler de son père, ce n'était pas vraiment rose entre eux en ce moment.

- C'est ce qu'il fait, tu le connaît, il n'aime pas quand je fait quelque chose qui peut le dévalorisé aux yeux du grand monde, alors quand je vais rendre visite à mes parents c'est à peine si j'ai le droit à un regard de sa part. Quand au fait de comment je finirais, il n'y a que le temps qui me le dira...Mais j'espère que je ne finirais pas comme ses femmes seules qui deviennent aigri avec l'âge, moi je me vois bien avec des enfants, même si avec mon caractère ce sera plutôt difficile, mon égo en prendra un coup c'est certain. Mais ce serait super que nos enfants grandissent ensemble, qu'ils deviennent aussi inséparable que nous quand ils auront notre âge. Mais quand au fait de résister ou pas, tu sais bien que je n'y arrive jamais, pour le moment ce que les hommes me donne est un peu de plaisir et je n'arrive pas à me passer de ça, c'est comme une drogue, je suis heureuse pendant un moment et après je redescent sur terre, là c'est le moment le plus dure et où je cours dans tes bras pour avoir du réconfort.

Cette liste, elle ne devait avoir que quatorze ans quand elle avait commencer à écrire ce qu'elle recherchait réellement chez un homme, tout ce que voulais réellement une femme et que tout le monde recherchait.

- Le bon vieux temps, il m'a manquer depuis le jour où j'ai déménager, mais je ne pensais pas que tu avais garder cette liste...Ah c'est journée là resteront graver à jamais dans ma mémoire, les fous rire que l'on pouvait avoir rien que pour un petit détail, quand à revenir aux bonnes vieilles méthodes ça ne serait pas une mauvaise idée, cela nous permettrait en plus de passer encore plus de temps ensemble...Ainsi je pourrait encore plus te rendre l'a vie infernable, j'ai toujours été très bonne dans ce domaine.